1100 liens privés
L’utilisation avertie des connaissances concernant le cerveau et ses fonctions peut nous conduire à de meilleurs choix et décisions, plus informés et conformes à la réalité. C’est le cas notamment dans le domaine de l’éducation, où le cerveau et ses modifications dues à l’apprentissage sont au coeur des pratiques. Mais pour que cette utilisation soit profitable, il est nécessaire qu’on sache identifier, dans la masse d’informations en circulation, celles fondées sur les faits. La place de plus en plus importante que prennent les sciences du cerveau dans notre société s’accompagne en effet par ailleurs de simplifications excessives, de distorsions des résultats expérimentaux et de leurs interprétations, de mécompréhensions – d’idées irréalistes, non fondées sur les faits, que nos propres intuitions et espoirs contribuent à renforcer.
Le dossier sur les neuromythes : https://synapses-lamap.org/category/boussole-pour-lenseignant/neuromythe/
«Nous n’utilisons que 10% des capacités de notre cerveau», «A chacun son style d’apprentissage», «Tout se joue avant 3 ans»… Nous croyons savoir beaucoup de choses sur le fonctionnement de notre cerveau. Et si ces idées reçues ne tenaient pas debout ?
Neuromythe #1 : les styles d’apprentissage ; Neuromythe #2 : la théorie des intelligences multiples ; Neuromythe #3 : le volume du cerveau influence l’intelligence ; Neuromythe #4 : la dominance hémisphérique (cerveau droit/cerveau gauche) ; Neuromythe #5 : apprendre en dormant ; Neuromythe #6 : l’effet Mozart ; Neuromythe #7 : les différences hommes-femmes ; Neuromythe #8 : le cerveau triunique (reptilien, limbique, néocortex) ; Neuromythe #9 : l’apprentissage ne peut se faire qu’avant 3 ans ; Neuromythe #10 : pour remédier au déclin cognitif, la Brain Gym est la solution ; Neuromythe #11 : les enfants précoces sont des génies ; Neuromythe #12 : le cerveau multitâche.